Un emploi qui a du sens
De la prévention des risques chimiques à celle des troubles musculosquelettiques (TMS) en passant par ceux liés à l’organisation et aux situations de travail, l’INRS est mobilisé pour rendre le travail plus sûr. Ses professionnels, qu’ils soient ingénieurs, techniciens de laboratoire, experts d’assistance conseil, ergonomes ou encore chargés de projets formation ou information, contribuent chacun à leur poste à l’amélioration continue des conditions de travail. Une mission d’intérêt général au profit de la santé et de la sécurité des salariés, portée par un organisme national sans but lucratif.
Un employeur de référence
Fondé en 1947 sous l’égide de la Caisse nationale de la sécurité sociale, l’INRS est l’acteur référent de la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles en France.
Il travaille en étroite collaboration avec les autres acteurs de la prévention des risques professionnels, notamment les Caisses régionales de l’Assurance maladie (Carsat, Cramif, CGSS), les ministères chargés du Travail et de la Santé, les organismes ou agences tels l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail (Anact), l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail (Anses), Santé publique France, l’Organisme professionnel de prévention du bâtiment et des travaux publics (OPPBTP)… ainsi que les fédérations professionnelles…
Une mission d'intérêt général
Financé par la Sécurité sociale – Assurance maladie / Risques professionnels, grâce à une subvention du Fonds national de prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles, l’INRS met son expertise à disposition des entreprises pour la mise en place d’actions destinées à préserver la santé et la sécurité de leur personnel, mais aussi des services de prévention et de santé au travail, des services de l’État. Son budget annuel, de 88 millions d’euros en 2024, lui permet de financer de manière autonome ses activités.
Des valeurs éthiques fortes
Association loi 1901 sans but lucratif, l’INRS est administré par un conseil paritaire où siègent neuf représentants d’organisations patronales (CPME, MEDEF, U2P) et neuf représentants des syndicats de salariés (CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, CGT-FO). Il dispose d’un comité de déontologie composé de huit personnalités externes issues de différentes disciplines. Par ailleurs, l’évaluation scientifique de ses travaux de recherche est assurée par une commission indépendante de 20 experts extérieurs.
Une large palette d’expertises
Nanoparticules et particules ultrafines, agents allergisants ou cancérogènes, bruit et chutes, rayonnements optiques, vibrations, conception des lieux de travail, horaires atypiques…, l’INRS intègre des compétences très variées, dans tous les domaines de la prévention des risques professionnels.
Cette diversité se retrouve dans les profils des collaborateurs et dans leurs métiers. Tous, avec leur expertise propre, travaillent en étroite collaboration avec un objectif commun : rendre le monde du travail plus sûr.
Un institut de recherche ouvert sur le monde
Près de 60 % des études et des projets de recherche réalisés par l’INRS ont été menés dans le cadre de partenariats avec des organismes renommés et de grandes universités aux niveaux régional, national et international. Impliqué dans le réseau européen Perosh (Partnership For European Research in Occupational Safety and Health), l’INRS coopère avec de nombreux homologues à l’étranger et participe aussi à d’ambitieux projets européens. Une stratégie de collaboration qui a pour but de mutualiser les connaissances, de confronter les approches et de partager les bonnes pratiques.
Des équipements de pointe
Générateur de nanomatériaux, chambre semi-anéchoïque dédiée aux travaux d’acoustique, microscopes électroniques… Si ces équipements ne parlent pas aux néophytes, ils illustrent la volonté de l’INRS d’équiper ses laboratoires de matériel de pointe. Objectif : offrir à ses équipes de recherche les moyens nécessaires à la réussite de leurs travaux.