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EDTA et sel tétrasodique

Fiche toxicologique n° 276

Sommaire de la fiche

Édition : Juillet 2021

Pathologie - Toxicologie

  • Toxicocinétique - Métabolisme [1]

    Chez l'Homme comme chez l'animal, les sels de l'EDTA étu­diés sont peu absorbés, par voie orale ou cutanée ; ils sont éliminés dans l'urine sans métabolisation.

    Chez l'animal

    Il n’y a pas d’étude de toxicocinétique par voie orale, inhalatoire ou cutanée avec l’EDTA lui-même ou ses sels sodiques.

    L’absorption orale du sel de calcium du 14C]-EDTA chez le rat (50 mg/kg) est très faible (2 à 18 % en 24 heures). Après injection parentérale d’une dose semblable, 95-98 % des molécules radiomarquées sont excrétées, sous forme inchangée [3], dans l’urine en 6 heures, avec une demi-vie d’élimination de 50 minutes, et 0,1 % dans l’air expiré sous forme de CO2. Par la formation de chélates, qui augmentent la solubilité dans les lipides, l’EDTA augmente l’absorption intestinale ou cutanée d’autres substances, comme le plomb ou d’autres métaux lourds (en particulier zinc, cuivre et manganèse) ainsi que leur excrétion urinaire.

  • Toxicité expérimentale
  • Toxicité sur l’Homme
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