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Travail de nuit / Travail posté : vrai ou faux ?

Testez vos connaissances sur le travail de nuit et le travail posté.

Quiz : Quiz Travail de nuit - travail posté

Testez vos connaissances sur le travail posté
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  1. Question 1 / 12

    Il existe plusieurs types d'horaires atyiques

    • CORRECT

      Le terme « horaires atypiques » recouvre l’ensemble des horaires de travail situés en dehors du cadre de la « semaine standard » (cinq jours travaillés, du lundi au vendredi ; horaires compris entre 6 h et 21 h ; plannings réguliers). Il existe plusieurs formes d’horaires atypiques. Les plus connus sont le travail de nuit, le travail posté et le travail de week-end et jours fériés.

    • INCORRECT

      Le terme « horaires atypiques » recouvre l’ensemble des horaires de travail situés en dehors du cadre de la « semaine standard » (cinq jours travaillés, du lundi au vendredi ; horaires compris entre 6 h et 21 h ; plannings réguliers). Il existe plusieurs formes d’horaires atypiques. Les plus connus sont le travail de nuit, le travail posté et le travail de week-end et jours fériés.

  2. Question 2 / 12

    Les horaires atypiques ne concernent qu’une minorité de salariés

    • CORRECT

      Une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) montre que ces modes d'organisation concerneraient aujourd'hui 2 salariés sur 3, soit près de 16 millions de personnes.

    • INCORRECT

      Une étude de la Direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares) montre que ces modes d'organisation concerneraient aujourd'hui 2 salariés sur 3, soit près de 16 millions de personnes.

  3. Question 3 / 12

    Travailler « en postes » implique que l’on change d’horaires en permanence

    • CORRECT

      Le travail posté correspond à une organisation du travail mise en place dans les entreprises pour garantir la continuité ou semi continuité de l’activité. En pratique, plusieurs équipes se relaient successivement aux mêmes postes de travail, selon un roulement prédéfini. La forme la plus connue est le 3x8, c’est-à-dire trois équipes différentes qui se relaient sur le même poste pendant 24 heures du lundi au vendredi.

    • INCORRECT

      Le travail posté correspond à une organisation du travail mise en place dans les entreprises pour garantir la continuité ou semi continuité de l’activité. En pratique, plusieurs équipes se relaient successivement aux mêmes postes de travail, selon un roulement prédéfini. La forme la plus connue est le 3x8, c’est-à-dire trois équipes différentes qui se relaient sur le même poste pendant 24 heures du lundi au vendredi.

  4. Question 4 / 12

    Le travail de nuit et le travail posté favorisent la survenue de maladies

    • CORRECT

      Ces horaires de travail atypiques peuvent avoir de nombreux effets néfastes sur la santé. Certains effets sont avérés : troubles du sommeil, troubles de la vigilance et troubles métaboliques.
      D’autres effets sont probables : obésité, prise de poids, diabète non insulino dépendant, maladies coronariennes, atteinte de la santé psychique, troubles cognitifs et cancer du sein.
      Et enfin, des effets sont possibles : dyslipidémies, hypertensions artérielles et accidents vasculaires cérébraux.

    • INCORRECT

      Ces horaires de travail atypiques peuvent avoir de nombreux effets néfastes sur la santé. Certains effets sont avérés : troubles du sommeil, troubles de la vigilance et troubles métaboliques.
      D’autres effets sont probables : obésité, prise de poids, diabète non insulino dépendant, maladies coronariennes, atteinte de la santé psychique, troubles cognitifs et cancer du sein.
      Et enfin, des effets sont possibles : dyslipidémies, hypertensions artérielles et accidents vasculaires cérébraux.

  5. Question 5 / 12

    Le déroulement de la grossesse peut être affecté par le travail de nuit

    • CORRECT

      Lors d’une grossesse, le travail de nuit pourrait augmenter le risque d’avortement spontané, d’accouchement prématuré et de retard de croissance intra-utérin.
      Sur leur demande ou celle de leur médecin, les femmes enceintes travaillant de nuit peuvent prétendre à une affectation à un poste de jour. Si le reclassement est impossible, elles sont en droit de demander une suspension de contrat. Une allocation journalière de la sécurité sociale leur sera alors versée, le complément de salaire étant à la charge de l’employeur.

    • INCORRECT

      Lors d’une grossesse, le travail de nuit pourrait augmenter le risque d’avortement spontané, d’accouchement prématuré et de retard de croissance intra-utérin.
      Sur leur demande ou celle de leur médecin, les femmes enceintes travaillant de nuit peuvent prétendre à une affectation à un poste de jour. Si le reclassement est impossible, elles sont en droit de demander une suspension de contrat. Une allocation journalière de la sécurité sociale leur sera alors versée, le complément de salaire étant à la charge de l’employeur.

  6. Question 6 / 12

    Travailler de nuit augmente les risques d’accidents du travail

    • CORRECT

      Le travail de nuit est responsable d’une dette chronique de sommeil et de désynchronisations internes qui peuvent entrainer une baisse de vigilance, des troubles de la concentration et de la mémorisation. Les salariés sont surexposés au risque d'accidents de travail et de trajet : les accidents de la route entre le lieu de travail et le domicile constituent le principal danger.

    • INCORRECT

      Le travail de nuit est responsable d’une dette chronique de sommeil et de désynchronisations internes qui peuvent entrainer une baisse de vigilance, des troubles de la concentration et de la mémorisation. Les salariés sont surexposés au risque d'accidents de travail et de trajet : les accidents de la route entre le lieu de travail et le domicile constituent le principal danger.

  7. Question 7 / 12

    Tous les salariés peuvent s’adapter à ce type d’organisation du travail

    • CORRECT

      La tolérance des salariés à ces horaires varie énormément d’un individu à l’autre. Il est donc conseillé, dans la mesure du possible, d’affecter en priorité les salariés volontaires aux postes concernés.
      De plus, la durée idéale du sommeil est variable d’un individu à l’autre. Il y a de « longs dormeurs » avec des besoins de sommeil de 9 heures ou plus et des « courts dormeurs » ayant besoin de moins de 6 heures par nuit. Les longs dormeurs auront plus de difficultés à s’adapter au travail de nuit.
      Des préférences horaires existent également : certains préfèrent se coucher tard et se réveiller tard, et d’autres au contraire se couchent tôt pour se lever tôt. Ce sont les chronotypes dits « du soir » ou « du matin ». Les chronotypes du matin auront plus de difficultés à supporter le travail de nuit. Alors que les chronotypes du soir auront des difficultés lors des postes du matin.

    • INCORRECT

      La tolérance des salariés à ces horaires varie énormément d’un individu à l’autre. Il est donc conseillé, dans la mesure du possible, d’affecter en priorité les salariés volontaires aux postes concernés.
      De plus, la durée idéale du sommeil est variable d’un individu à l’autre. Il y a de « longs dormeurs » avec des besoins de sommeil de 9 heures ou plus et des « courts dormeurs » ayant besoin de moins de 6 heures par nuit. Les longs dormeurs auront plus de difficultés à s’adapter au travail de nuit.
      Des préférences horaires existent également : certains préfèrent se coucher tard et se réveiller tard, et d’autres au contraire se couchent tôt pour se lever tôt. Ce sont les chronotypes dits « du soir » ou « du matin ». Les chronotypes du matin auront plus de difficultés à supporter le travail de nuit. Alors que les chronotypes du soir auront des difficultés lors des postes du matin.

  8. Question 8 / 12

    Le travail de nuit peut permettre une meilleure conciliation entre la vie personnelle et professionnelle sans impacter la santé des travailleurs

    • CORRECT

      Au lieu de respecter les temps de repos indispensables, les salariés qui travaillent de nuit ont tendance à utiliser leurs temps libres en journée pour leurs activités familiales ou sociales. Cela les empêche de récupérer et contribue à augmenter la dette de sommeil, ce qui, à terme, peut avoir des conséquences négatives sur leur santé et leur sécurité.

    • INCORRECT

      Au lieu de respecter les temps de repos indispensables, les salariés qui travaillent de nuit ont tendance à utiliser leurs temps libres en journée pour leurs activités familiales ou sociales. Cela les empêche de récupérer et contribue à augmenter la dette de sommeil, ce qui, à terme, peut avoir des conséquences négatives sur leur santé et leur sécurité.

  9. Question 9 / 12

    Le travail de nuit nécessite des adaptations de l’environnement de travail.

    • CORRECT

      Il est recommandé par exemple d’optimiser l'éclairage, d’éviter l’isolement des salariés (rapprochement des postes, travail en binôme…), d’aménager des espaces de repos...

    • INCORRECT

      Il est recommandé par exemple d’optimiser l'éclairage, d’éviter l’isolement des salariés (rapprochement des postes, travail en binôme…), d’aménager des espaces de repos...

  10. Question 10 / 12

    Les travailleurs de nuit doivent faire l’objet d’un suivi de l’état de santé spécifique

    • CORRECT

      Les travailleurs de nuit bénéficient d’une visite d’information et de prévention réalisée préalablement à leur affectation sur le poste, soit par le médecin du travail ou bien, sous l'autorité de celui-ci, par le collaborateur médecin, l'interne en médecine du travail ou l'infirmier.
      À l’issue de la visite, le salarié bénéficie de modalités de suivi adaptées déterminées dans le cadre du protocole écrit élaboré par le médecin du travail, selon une périodicité qui n’excède pas une durée de trois ans (art. R. 4624-17 30 et R. 4624-18 31 du Code du travail). Dans le cadre de ce suivi, le médecin du travail peut prescrire, s'il le juge utile, des examens spécialisés complémentaires qui sont à la charge de l'employeur.

    • INCORRECT

      Les travailleurs de nuit bénéficient d’une visite d’information et de prévention réalisée préalablement à leur affectation sur le poste, soit par le médecin du travail ou bien, sous l'autorité de celui-ci, par le collaborateur médecin, l'interne en médecine du travail ou l'infirmier.
      À l’issue de la visite, le salarié bénéficie de modalités de suivi adaptées déterminées dans le cadre du protocole écrit élaboré par le médecin du travail, selon une périodicité qui n’excède pas une durée de trois ans (art. R. 4624-17 30 et R. 4624-18 31 du Code du travail). Dans le cadre de ce suivi, le médecin du travail peut prescrire, s'il le juge utile, des examens spécialisés complémentaires qui sont à la charge de l'employeur.

  11. Question 11 / 12

    Le refus d’affectation à un poste de nuit peut constituer un motif de licenciement

    • CORRECT

      Le Code du travail précise que le refus d’être affecté à un poste de nuit ne peut constituer un motif de licenciement s’il est motivé par des obligations familiales impérieuses (garde d'enfant, prise en charge d'une personne dépendante…).

    • INCORRECT

      Le Code du travail précise que le refus d’être affecté à un poste de nuit ne peut constituer un motif de licenciement s’il est motivé par des obligations familiales impérieuses (garde d'enfant, prise en charge d'une personne dépendante…).

  12. Question 12 / 12

    Un jeune travailleur de moins de 18 ans peut travailler de nuit

    • CORRECT

      Sauf dérogation spécifique, le travail de nuit est interdit aux travailleurs mineurs.

    • INCORRECT

      Sauf dérogation spécifique, le travail de nuit est interdit aux travailleurs mineurs.

Mis à jour le 28/05/2018